FRANCE

Ouvert aux visites

Rennes-le-Château est une commune française située dans le département de l'Aude. Quel passé aussi fascinant soit-il Rennes le Château renferme t-il pour qu’il y est un tel engouement presque 100 ans après la mort de Bérenger Saunière ?

Cet abbé qui de 1885 jusqu’à 1917 rénova l’église et le presbytère du village, il achètera également les terrains adjacents pour y construire la villa Béthanie, la Tour Magdala et la Tour de verre, le tout surmonté par un magnifique point de vue. 120000 visiteurs se rendent chaque année sur ce site... (Source site officiel & Wikipedia)

LES ARCHIVES :

VISITEZ LES LIEUX D’ENQUÊTES

Le domaine de l'abbé Saunière (Rennes-Le-Château)

Site officiel : www.rennes-le-chateau.fr

Le château de Montségur

Site officiel : www.montsegur.fr

En visitant le chateau de Montségur (plus de 60.000 visiteurs annuellement), vous percevrez tout le pathétisme qui se dégage du site lorsque l'on tente d'imaginer ce qu'a pu être, durant l'hiver 1243-1244, le siège de cette "citadelle du vertige". Comment, pour les 400 personnes retranchées, les conditions de vie, déjà austères en temps normal, furent rendues encore plus dures par l'isolement résultant de ce long siège de 10 mois.

Vous aurez alors une pensée pour ces 230 cathares qui, ne voulant pas renier leur foi, choisirent de mourir et de monter eux-mêmes sur le bûcher allumé en contrebas du château, un 16 mars 1244. Ainsi sonna la fin annoncée du catharisme. (Source site officiel)

Le château de Puymartin

Site officiel : www.chateau-puymartin.com

Entre Sarlat et les Eyzies le regard est attiré par les tours crénelées de Puymartin. Ce château construit au XIIème siècle (env. 1270) a été détruit pendant la guerre de Cent Ans (1358), et reconstruit vers 1450 par Radulphe de Saint-Clar qui l’a habité.

Le Château a traversé les siècles et a été restauré en partie au XIXème (vers 1890) par son descendant, le Marquis de Carbonnier de Marzac, ancêtre de la famille actuelle : de Montbron. C’est en cela que Puymartin conserve des biens de famille, mobilier, tapisseries, peintures et un Cabinet Mythologique unique en Périgord. (Source site officiel)

Construit en 1730, situé sur l’avenue de la Cour de France (actuelle nationale 7), l’observatoire C. Flammarion était à l’origine un bâtiment qui servait d’auberge à la Cour se rendant régulièrement à Fontainebleau.

En 1882, Camille Flammarion reçoit cette propriété historique d’un généreux admirateur. L’illustre astronome s’empresse de transformer cette ancienne bâtisse en observatoire. (Source site officiel)

Le Val de Consolation

Site officiel : www.artisansdepaix.org

C'est au 17ème siècle que Ferdinand-François-Just de Rye, marquis de Varambon décide de fonder à Consolation une maison de religieux. C'est sa femme qui terminera de concrétiser ce projet après la mort prématurée du marquis en 1657. Définitivement fermé en 1978, le lieu est aujourd'hui géré par l'association des Artisans de Paix.

L’association organise des rencontres, des conférences, des expositions, des formations au respect de la nature et bien plus encore... Tout cela afin de promouvoir la paix dans le monde, en faisant vivre le Val de Consolation dans toutes ses composantes.

L'observatoire Camille Flammarion

Site officiel : www.juvisy.fr/lobservatoire-camille-flammarion

Le château de Fougeret

Site officiel : www.fougeret.com

Situé en haut d'une falaise de 38 mètres, il domine la vallée de la Vienne. Les archives citent ce lieu dès 1337. Fougeret fut, jusqu'à la Révolution, un lieu de Haute-Justice. Sous le Second Empire, une campagne de restauration lui donne son aspect actuel. Il garde cependant des éléments médiévaux. Il répond aux styles néo-gothique et éclectique propres au xixe siècle

Le château a été inscrit Monument historique en 2010. Il possède un parc de 10 hectares qui borde la Vienne. (Source Wikipedia)

En 1886, le général Brialmont a été chargé par le gouvernement belge de concevoir deux ceintures fortifiées autour de Liège et Namur. La place de Liège était constituée de 12 forts : 6 grands et 6 petits dont Lantin faisait partie. Les 12 forts ont été construits en 4 ans ce qui constitue une prouesse à la fin du 19ème siècle.

Le fort de Lantin est distant de 4 à 5 km par rapport à ses voisins, Loncin et Liers, et se trouve à environ 8 km de Liège, distance maximum de portée des canons de l’époque. (Source site officiel)

Le fort de Lantin

Site officiel : www.fortdelantin.be

Accrochée à son éperon rocheux, surplombant la Ville de Dinant, la Citadelle est aménagée en musée d’armes et d’histoire depuis plus d’un siècle. Deuxième ville de la Principauté de Liège au moyen-âge, la cité des "Copères" était fière de sa "dinanderie", le travail du cuivre, et a été associée à la Hanse germanique.

Pour monter à l’assaut de la Citadelle de Dinant, le visiteur a le choix entre gravir l’escalier (daté de 1577) aux 408 marches et/ou emprunter le téléphérique de 1956 (rénové en 1997) pour apprécier un paysage époustouflant sur la Ville de Dinant. (Source site officiel)

La citadelle de Dinant

Site officiel : www.citadellededinant.be

Le fort de Loncin est l'un des douze forts établis pour la défense de Liège, en Belgique. Il fut construit entre 1888 et 1891 d'après les plans du général Henri Alexis Brialmont. Le fort a été construit presque exclusivement en béton (non armé), matériau largement méconnu.

Il fut détruit au début de la Première Guerre mondiale par un tir d'obus engendrant une puissante explosion. La grande majorité des défenseurs ayant été enfoui sous les décombres, le fort est rapidement devenu une nécropole militaire. À la faveur royale, il fut même élevé au rang de nécropole nationale, le 3 août 2014. (Source Wikipedia)